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Octobre 2025
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ENVIRONNEMENT CONJONCTUREL
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 1. Environnement macro-économique  

 2. Environnement des marchés 

 3. Analyses et Perspectives
 
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1. Environnement macro-économique 
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Monde : nos attentes de croissance mondiale autour de 3% en 2025 et en légère accélération pour 2026 n’ont pas évolué, compte tenu de politiques budgétaires et monétaires encore relativement accommodantes et d’une bonne résistance de l’emploi et de la demande des ménages. En zone euro, la croissance ne devrait pas dépasser +1,2% mais la maîtrise de l’inflation pourrait encore permettre une dernière baisse du taux directeur de la BCE. Nous maintenons une certaine réserve quant à la dynamique conjoncturelle chinoise, mais force est de constater que ce pays continue de bénéficier d’une demande extérieure forte et que les pays émergents bénéficient des perspectives d’assouplissement monétaire aux Etats-Unis.
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États-Unis : les perspectives de croissance continuent d’être révisées favorablement depuis plusieurs mois, malgré des indicateurs avancés mitigés. Le moral des ménages américains - au plus bas depuis avril - est certes pénalisé par l’inflation et les moindres opportunités sur le marché du travail, mais la consommation demeure soutenue par les ménages à revenus élevés ainsi que par la progression des marchés d’actions, qui dope le patrimoine des ménages. A noter que plusieurs indicateurs récents indiquent un net fléchissement du marché du travail, avec dégradation tant de l’offre que de la demande. Les fortes révisions à la baisse publiées par le Bureau of Labor Statistics ont d’ailleurs révélé que la baisse des créations nettes d’emploi n’est pas récente : en effet, leur nombre total entre avril 2024 et mars 2025, initialement estimé à 1 758 000, aurait été surévalué de 911 000.  Jerome Powell a du coup ouvert la porte à un nouveau cycle de baisse des taux d’intérêts avec une baisse des Fed funds de 25 bps le 17 septembre.
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Évolution des indices américains NFIB (août 2025)
et PMI (septembre 2025)
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Source : Refinitiv/ Datastream/ VEGA IS – Données actualisées au 02/10/2025 
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Asie : l’économie chinoise ne semble pas en mesure de sortir rapidement d’une crise de surcapacité de production, tant du point de vue de l’immobilier que de son secteur industriel. Après plusieurs faux départs, les mesures de relance chinoises semblent toutefois porter leurs fruits au niveau du marché boursier, dont la bonne santé est désormais jugée essentielle par les autorités.  La Chine, qui pesait autrefois sur la liquidité mondiale, en est devenue le principal moteur avec une forte croissance de son agrégat de masse monétaire M1. Cette évolution soutient à la fois les marchés d’actions chinois et, plus indirectement, Wall Street et les marchés de crédit internationaux.
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Europe : après un 1er trimestre en hausse sensible (+0,6%), la croissance de la zone euro n’a pas dépassé +0,1% au 2e trimestre. On remarque toutefois des signes d’amélioration : ainsi, l'indice PMI composite a poursuivi sa progression à 51,2 contre 51,0 en août, marquant ainsi son niveau le plus élevé depuis mai 2024. A noter cependant que les entreprises ont légèrement réduit leurs effectifs en septembre, rompant ainsi avec une série d'embauches qui durait depuis le mois de mars. Le taux d'inflation annuel de la zone euro a été estimé à 2,2% en septembre 2025, contre 2,0% selon une estimation d’Eurostat et la BCE a de nouveau choisi de ne pas faire évoluer son taux directeur fixé à 2%.
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Zone Euro : évolution des indices d'activité PMI
(septembre 2025)
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Source : Refinitiv/ Datastream/ VEGA IS – Données actualisées au 02/10/2025 
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2. Environnement des marchés 
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Actions
 
Les marchés d’actions internationaux continuent à bénéficier d’un environnement de croissance, certes en recul par rapport à 2024, mais positif, d’un soutien budgétaire toujours important, ainsi que de perspectives de baisse des taux directeurs américains, soutenant des niveaux de valorisation jugées tendues aux Etats-Unis, toujours portées par l’engouement autour de l’IA. A noter toutefois que le positionnement des investisseurs ne semble pas exagérément porté vers le risque, ce qui limite les risques immédiats.
En septembre, l’indice S&P 500 a enregistré un gain de +3,6% en USD (+3,2% en EUR), mais est devancé par le Nasdaq (+5,7% en USD). Côté européen, le Stoxx Europe 600 s’est adjugé +1,5% alors que le CAC 40 a rattrapé une partie de son retard malgré l’instabilité politique (+2,7%). A noter que l’indice MSCI Europe Value, en dépit d’une avance toujours importante par rapport à l’indice MSCI Europe Growth depuis le début de l’année (+13,1%), a marqué le pas avec une progression limitée 0,6% (contre +2,6%).
Au niveau mondial, le MSCI World a clôturé sur un gain de +3,2% en USD (+2,8% en EUR). Les marchés développés ont toutefois été devancés par les marchés émergents qui se distinguent par un bond mensuel de +7,1% pour le MSCI Emerging Markets. Depuis le début de l’année, le MSCI World (+17,4% en USD) est devancé par l’indice des marchés émergents (+27,5%). A noter toutefois que les performances des actions internationales en EUR (+4,4% pour le MSCI World All Countries) sont largement inférieures à celle des marchés de la zone euro (+18,5%).
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Performances des principaux indices boursiers
Dividendes nets réinvestis

(du 31/12/2024 au 02/10/2025)
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Source : Refinitiv / Datastream / Vega IS au 02/10/2025
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Taux
 
Le mois de septembre a été marqué par des rendements obligataires stables ou en léger recul. Même les OAT à 10 ans françaises, malgré l’instabilité politique, ont vu leur taux de rendement maintenu à 3,53%. Cette situation a toutefois évolué début septembre, compte tenu de l’annonce surprise de la démission du Premier ministre, Sébastien Lecornu, accentuant la probabilité d’un scénario d’une dissolution de l’Assemblée Nationale.
Les rendements obligataires à 10 ans restent encore élevés au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, respectivement à 4,70% et 4,15%, compte tenu d’une inflation encore persistante, de taux directeurs toujours élevés et de déficits publics importants. Les anticipations de baisse des taux directeurs américains devraient néanmoins permettre un recul des taux longs outre-Atlantique.
Les indices obligataires ont affiché des résultats satisfaisants : le Bloomberg Global Aggregate hedgé en EUR gagne +0,54% tandis que le Bloomberg Euro Aggregate avance de +0,36% soutenu par la compression des spreads de crédit. Depuis le début de l'année, l’indice mondial progresse de +2,42% mais son homologue en zone euro doit se contenter d’un gain de +1,01% en 2025 à fin septembre, un niveau inférieur à celui des actifs monétaires. A noter toutefois le comportement sensiblement plus favorable de l’indice Bloomberg Eur Aggregate 3-5Y en progression de +2,4% sur 9 mois.
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Évolution des rendements obligataires souverains
à 10 ans depuis janvier 2024
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Source : Refinitiv / Datastream / Vega IS ay 02/10/2025
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Source : VEGA Investment Solutions, données au 30/06/2025
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Les chiffres des performances citées ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
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3. Analyses et Perspectives 
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Les vues de l'allocataire*
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À SAVOIR
 
Les éléments de connaissance client, comme l’existence ou la validité du QCF (Questionnaire de Connaissances Financières), devront être vérifiés et mis à jour avant de démarrer le parcours avec le client.
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Le niveau de la croissance mondiale en 2025 ne semble pas inquiéter les investisseurs, compte tenu des politiques de soutien budgétaire et des marges d’ajustement de la politique monétaire aux Etats Unis. La dynamique d’activité aux États-Unis demeure suffisamment robuste - malgré un marché de l’emploi en net ralentissement - compte tenu d’une dynamique d’investissement solide et d’une consommation qui résiste, grâce à l’effet richesse lié à la progression des marchés boursiers. Les prévisions de croissance mondiale ont d’ailleurs été légèrement révisées à la hausse en septembre. Le consensus des analystes (source : Factset) pour les États-Unis s’établit à 1,7% en 2025 comme pour 2026, contre 2,8% en 2024. Le principal point d’inflexion concerne l’Allemagne dont les prévisions en moyenne sont de 0,3% pour 2025 et 1,1% pour 2026, contre -0,5% l’année dernière. 

En outre, la politique économique chinoise semble avoir pris une direction plus décisive cette année : l'accent est désormais mis sur la réduction des surcapacités et des horaires de travail excessifs (une démarche qualifiée de « anti-involution »), allégeant ainsi la pression à la baisse sur l'inflation, stimulant la demande et l'investissement dans le secteur privé et contrôlant les risques dans le secteur immobilier. Ces mesures se reflètent dans une nette reprise de l’agrégat de croissance M1 en Chine, et donc à l’échelle mondiale. 

Les pressions inflationnistes, liées à l’instauration des barrières douanières, semble inquiéter nettement moins les investisseurs, qui interprètent ce phénomène comme ponctuel et n’affectant pas pleinement les résultats des entreprises. Du côté européen, nous anticipons toujours que les pressions désinflationnistes devraient continuer de se répercuter sur l’inflation sous-jacente et casser le niveau des 2%. La remontée de l’euro ainsi que la baisse du prix du pétrole constituent toujours deux facteurs positifs en faveur de la décrue de l’inflation européenne. Parallèlement, les débats autour de la remise en cause de l’indépendance de la Fed vis-à-vis de l’administration Trump ont également perdu de leur vigueur, les investisseurs se satisfaisant en définitive du démarrage d’un cycle de baisse des taux.

Du côté des prévisions croissance de résultats pour l’année en cours, les révisions demeurent négatives en Europe et convergent même vers 0 pour les entreprises de l’indice STOXX Europe 600, alors qu’elles se maintiennent à 11% pour le S&P 500 et plus de 20% pour l’indice Nasdaq Composite. Cette divergence est pour partie liée à l’appréciation de l’euro contre dollar qui a pesé sur les résultats des entreprises européennes. Le différentiel de bénéfices - États-Unis vs Europe - qui s’est accru en 2025 devrait nettement se réduire en 2026 avec un écart limité à 2% pour la progression des résultats du S&P 500 vs Stoxx Europe 600. A moins de 15 fois ses bénéfices prospectifs, le PER européen est proche de sa moyenne de long terme alors que celui du S&P 500 ressort à 8 points au-dessus. Cependant, cet écart est lié à la part croissante des valeurs de la technologie dans l’indice US, dont les valorisations sont passées de moins de 20x les résultats à la fin des années 2010 à 30x aujourd’hui.

Passage de la neutralité à une surpondération de 3% de notre allocation en actions depuis le 2 octobre.

Nous repassons surpondérés sur les actions en privilégiant les valeurs européennes qui poursuivent une tendance favorable tout en affichant des valorisations plus faibles que les actions américaines. Nous repassons également de neutres à positifs sur les actions des marchés émergents.

Nous gardons une légère surpondération en sensibilité sur les obligations avec un biais positif sur le crédit et sur l’Italie. Nous nous attendons à une accentuation de la pentification des courbes des taux aux Etats-Unis et, dans une moindre mesure en zone euro, essentiellement par une baisse des taux courts.
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Ces avis et opinions sont susceptibles d’évolution et n’engagent pas la responsabilité de leurs auteurs.

* Allocataire = VEGA Investment Solutions
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Source : VEGA Investment Solutions. Ces avis et opinions sont susceptibles d’évolution et n’engagent pas la responsabilité de leurs auteurs.
Achevé de rédiger le 7 octobre 2025.
Les analyses et les opinions mentionnées dans le présent document représentent le point de vue de l’auteur référencé. Elles sont émises à la date indiquée, sont susceptibles de changer et ne sauraient être interprétées comme possédant une quelconque valeur contractuelle.
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