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Sélection Patrimoniale Caisse d'Epargne
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Juillet 2025
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ENVIRONNEMENT CONJONCTUREL
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 1. Environnement macro-économique  

 2. Environnement des marchés 

 3. Analyses et Perspectives
 
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1. Environnement macro-économique 
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Monde : les tensions géopolitiques et les négociations commerciales ont dominé l’actualité mondiale. Un accord sino-américain a été conclu, portant les droits de douane américains sur les produits chinois à 55%, tandis que la Chine a fixé ses propres tarifs à 10% sur les biens américains. L’accord couvre aussi des secteurs stratégiques comme les terres rares et les semi-conducteurs. Cependant, cet équilibre fragile a été perturbé par une escalade militaire au Moyen-Orient : Israël a mené plusieurs frappes sur des sites nucléaires iraniens, suscitant des représailles. Ces escalades des tensions ont provoqué une forte hausse des prix de l’énergie, avec un WTI qui a brièvement franchi les 75$ et un Brent qui a atteint 78$. L’annonce d’un cessez-le-feu a toutefois permis une détente rapide des cours, revenus à leur niveau initial. Par ailleurs, le Canada a été contraint d’abandonner sa taxe numérique dite « taxe GAFAM », sous la pression américaine, afin de préserver ses relations commerciales avec les Etats-Unis. La situation économique globale reste incertaine, perturbée par les tensions géopolitiques et commerciales.
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États-Unis : la FED a maintenu ses taux directeurs dans la fourchette de [4,25-4,5%], conformément aux attentes, conservant une posture attentiste face à la résilience de l’inflation (à 2,4% en mai). Dans le même temps, les indicateurs d’activité sont ressortis supérieurs aux attentes, avec un PMI manufacturier à 52 et un PMI des services à 53,1. En parallèle, les créations d’emplois non-agricoles sont ressorties à 147 000 contre 111 000 attendues, avec un taux de chômage qui recule légèrement à 4,1%, soulignant la résilience du marché de l’emploi américain.
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tats-Unis : évolution des créations d’emplois
non-agricoles
(en milliers)
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Source : Bloomberg/ VEGA IS – Données actualisées au 30/06/2025
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États-Unis et zone euro : évolution de l’inflation
en glissement annuel (en %)
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Source : Bloomberg/ VEGA IS – Données actualisées au 30/06/2025
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Europe : en Zone Euro, l’inflation a légèrement progressé à +2% en glissement annuel, contre 1,9% en mai, tandis que l’inflation sous-jacente est restée stable à 2,3%. Malgré cela, la BCE a réaffirmé son intention de poursuivre l’assouplissement monétaire, avec une prochaine baisse de taux envisagée pour septembre. Les négociations commerciales avec les Etats-Unis n’ont pas encore abouti, alors que Donald Trump a repoussé l’entrée en vigueur des droits de douane du 9 juillet au 1er août. Finalement, les PMI en zone euro restent contrastés, puisque le PMI des services remonte à 50, tandis que le manufacturier stagne à 49,4, suggérant une reprise encore incomplète.
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Asie : Aa Japon, les tensions inflationnistes persistent avec une inflation sous-jacente en hausse à 3,7% en mai contre 3,5% en avril. La Banque du Japon reste prudente, tout en surveillant les effets des tarifs américains et la demande pour les obligations à long terme. En Chine, l’accord commercial avec les États-Unis a été salué par les marchés, mais l’économie reste confrontée à une demande intérieure faible. Par ailleurs le PMI composite Caixin retrouve un niveau de 51,3 en juin après être tombé à 49,6 au mois de juin, pour la première fois depuis 2022. 
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2. Environnement des marchés 
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Actions
 
En juin, les marchés actions ont poursuivi leur rebond, portés par les accords commerciaux et une accalmie géopolitique en fin de mois. Les indices mondiaux ont bénéficié d’un regain de confiance des investisseurs. Dans ce contexte, le MSCI World en € a progressé de +0,7% en juin. Le recul de l’indice mondial de -3,4% en 2025 s’explique pour une large part du fait de la baisse du dollar contre l’euro, avec un décrochage de près de 14%.

Aux États-Unis, le S&P 500 et le Nasdaq ont progressé en juin de +5% et +6,3% en $ portés par un regain d’intérêt pour les valeurs technologiques. En Europe, le Stoxx Europe 600 recule de -1,3%, mais reste en progression de +9,4% depuis le début de l’année. A noter que l’indice MSCI Europe Value affiche une avance de plus de 10% par rapport à l’indice MSCI Europe Growth, soutenu notamment par les valeurs bancaires.

De leurs côtés, les marchés émergents ont surperformé en juin, avec un gain de +2,4% en € pour le MSCI Emerging Markets contre +0,7% pour les marchés développés.
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Évolution des actions internationales depuis début 2024
(MSCI World en EUR)
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Sources: VEGA Investment Solutions, Bloomberg, données au 4 juillet 202
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Taux
 
Le mois de juin a été marqué par une détente sur les marchés obligataires américains. Le rendement du T-Note 10 ans a baissé, atteignant 4,23% fin juin, contre 4,40% un mois plus tôt, malgré un pic à 4,51% début juin.

En Europe, les taux souverains ont cependant progressé sur le mois. Le rendement du Bund allemand à 10 ans a progressé, de 2,50% à 2,61%. Celui de l'OAT française à 10 ans a également augmenté à 3,28%, tandis que celui de l’Italie est resté stable à 3,48%.

Les indices obligataires ont affiché des performances en demi-teinte : le Bloomberg Global Aggregate hedgé en € a augmenté de +0,8%, tandis que l’Euro Aggregate a cédé -0,1%. Depuis le début de l'année, les deux indices restent néanmoins en territoire positif, avec des gains respectifs de +1,8% et +0,8% à fin juin.

À noter aussi la normalisation du marché du crédit en juin : l’indice Bloomberg Eur Aggregate Corporate affiche désormais une avance de +1,8% depuis le début de l’année, tandis que le high yield européen s’adjuge +2,3%.
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Évolution des rendements obligataires souverains
à 10 ans depuis janvier 2024
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Sources: VEGA Investment Solutions, Bloomberg, données au 30 juin 2025
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Source : VEGA Investment Solutions, données au 30/06/2025
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Les chiffres des performances citées ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
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3. Analyses et Perspectives 
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Les vues de l'allocataire*
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À SAVOIR
 
Les éléments de connaissance client, comme l’existence ou la validité du QCF (Questionnaire de Connaissances Financières), devront être vérifiés et mis à jour avant de démarrer le parcours avec le client.
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La probabilité d'une récession semble désormais faible, même si la croissance économique globale devrait ralentir en 2025.

La dynamique d’activité aux États-Unis demeure robuste malgré une légère contraction du PIB au 1er trimestre 2025 liée au gonflement du déficit commercial, lui-même en grande partie alimenté par l’anticipation d’importations avant le relèvement des droits de douane. Le profil de croissance des États-Unis pourrait connaître des turbulences au deuxième trimestre 2025, en raison de comportements de déstockage. Par ailleurs, la contribution de la demande intérieure à la croissance américaine est susceptible de diminuer au cours du troisième et quatrième trimestre. En Europe et au Japon, les nouvelles positives se multiplient, surtout en ce qui concerne la demande intérieure. En revanche, la Chine continue d'évoluer sur un fil et les marchés attendent toujours des mesures de soutien budgétaire plus décisives. 

Vers une divergence des politiques monétaires. L'inflation continuera de ralentir mais pas à la même vitesse selon les zones, ce qui alimente la poursuite du découplage des politiques monétaires. De manière générale, l’inflation ne constitue plus le focus prioritaire des banquiers centraux.

Le cycle d’assouplissement monétaire se poursuit en Europe et il devrait reprendre à la rentrée aux États-Unis. La BCE, qui a déjà abaissé ses taux directeurs de 25 points de base en juin, devrait opérer deux autres baisses en septembre et en décembre. Pour la Fed, nous anticipons une reprise de la normalisation monétaire, avec trois baisses d’un quart de point d’ici à la fin de l’année, afin de limiter la dégradation du marché du travail. La Banque du Japon ne prévoit pas de changement à court terme, mais elle risque fort d’être poussée à relever ses taux cet automne, compte des pressions très fortes sur les salaires et d’une inflation sous-jacente élevée. 

Notre positionnement est de nouveau favorable aux marchés d’actions : nous sommes passés de la neutralité à la surpondération (+3%) des actions le 23 juin, soit dès la fin de la « guerre des 12 jours » au Moyen-Orient. Nous avons porté notre rééquilibrage en faveur des actions américaines, qui bénéficient désormais de flux acheteurs supérieurs aux actions européennes.

Nous maintenons une neutralité vigilante sur les obligations avec un biais positif sur l’Italie et le crédit (pour ce dernier, pour le portage positif, même si nous n’anticipons pas de détente supplémentaire des primes de risque). Nous croyons à une accentuation probable de la pentification de la courbe des taux aux Etats-Unis et, dans une moindre mesure, en zone euro.
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Ces avis et opinions sont susceptibles d’évolution et n’engagent pas la responsabilité de leurs auteurs.

* Allocataire = VEGA Investment Solutions
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Source : VEGA Investment Solutions.  Ces avis et opinions sont susceptibles d’évolution et n’engagent pas la responsabilité de leurs auteurs.
Achevé de rédiger le 10 juillet 2025.
Les analyses et les opinions mentionnées dans le présent document représentent le point de vue de l’auteur référencé. Elles sont émises à la date indiquée, sont susceptibles de changer et ne sauraient être interprétées comme possédant une quelconque valeur contractuelle.
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